Le psalmiste partage une croyance de ses contemporains : Dieu punit les fautes en envoyant des malheurs. Cette pensée connaîtra une évolution dans des textes bibliques plus tardifs, comme le livre de Job. Se pensant frappé par Dieu, le croyant du psaume décide de se taire. Mais il ne peut persister longtemps dans un tel mutisme, qui amplifie ses souffrances.